Résumé (quatrième de couverture) :
Cette année, Nicolas Bedos a séquestré Laurent Fabius et ruiné Liliane Bettencourt, il a dragué Jean Dujardin au ski, tué Edouard Baer et Johnny Hallyday, travesti Jean d'Ormesson, il a présenté Anne Frank à deux cosmonautes, pris un bain chez Hortefeux, il a détesté plein de gens, il en a aimé tant d'autres, bref, il a passé une année de merde mais vous n'imaginez pas ce qu'il pense de la vôtre.
« Car l’époque est aux lâches, aux traîtres, à l’ouverture, seuls les miroirs nous font la gueule. Et on peut se coucher, la conscience presque tranquille, tout en se répétant : « Non, je ne suis pas un enculé : je vis avec mon temps. » »
Maintenant, place au livre !
Qui ne connait pas les chroniques de Nicolas BEDOS sur Canal + ?
Dans ce premier volume, vous retrouverez toutes ces chroniques, aussi acerbes qu’à la télévision.
Il n’hésite pas à dénoncer, à pousser le vice jusqu’à son paroxysme, personnellement, j’adhère à cette forme de dénonciation. Je n’adhère pas à toutes ses idées, mais la méthode qu’il adopte pour le faire.
Il a son style et c’est ça qui le rend fabuleux.
Cette année, Nicolas Bedos a séquestré Laurent Fabius et ruiné Liliane Bettencourt, il a dragué Jean Dujardin au ski, tué Edouard Baer et Johnny Hallyday, travesti Jean d'Ormesson, il a présenté Anne Frank à deux cosmonautes, pris un bain chez Hortefeux, il a détesté plein de gens, il en a aimé tant d'autres, bref, il a passé une année de merde mais vous n'imaginez pas ce qu'il pense de la vôtre.
« Car l’époque est aux lâches, aux traîtres, à l’ouverture, seuls les miroirs nous font la gueule. Et on peut se coucher, la conscience presque tranquille, tout en se répétant : « Non, je ne suis pas un enculé : je vis avec mon temps. » »
Maintenant, place au livre !
Qui ne connait pas les chroniques de Nicolas BEDOS sur Canal + ?
Dans ce premier volume, vous retrouverez toutes ces chroniques, aussi acerbes qu’à la télévision.
Il n’hésite pas à dénoncer, à pousser le vice jusqu’à son paroxysme, personnellement, j’adhère à cette forme de dénonciation. Je n’adhère pas à toutes ses idées, mais la méthode qu’il adopte pour le faire.
Il a son style et c’est ça qui le rend fabuleux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire