Veronika a les mêmes rêves, les mêmes désirs que tous les jeunes gens du monde. Elle a un métier raisonnable et vit dans un petit appartement, s'offrant ainsi le plaisir d'avoir un coin à elle. Elle fréquente les bars, rencontre des hommes. Pourtant, Veronika n'est pas heureuse. Quelque chose lui manque. Alors, le matin du 11 novembre 1997, Veronika décide de mourir. Imagination et rêves, amour et folie. Désir et mort. Alors qu'elle s'approche de la mort, Veronika se rend compte que chaque moment de la vie constitue un choix, celui de vivre ou d'abandonner. Veronika expérimente de nouveaux plaisirs et découvre qu'il y a toujours un sens à la vie. Mais la vie est courte. Veronika a décidé de mourir, et maintenant, elle ne peut renoncer.
Maintenant, place au livre !
Contrairement à l’idée que nous pourrions nous faire de ce livre par rapport au titre du livre, celui-ci n'est pas déprimant du tout !
Il raconte avec toute la finesse de Paulo Coelho, l'histoire d'une femme qui se pose des questions comme nous toutes :
Dois-je me marier ? Dois-je avoir des enfants avec cet homme ? Tout ça pourquoi, pour divorcer ?
Veronika trouve que son avenir lui est prédestiné comme pour toutes les femmes, elle n'aime pas l'idée de devoir rentrer dans le moule et décide de mettre fin à ses jours, seulement ce suicide raté l'emmène dans un monde à part et ses désirs de mort vont peu à peu se transformer en désirs de vivre.
Je vous recommande vivement ce livre aussi fascinant que surprenant !
Qu’en avez-vous pensé ?
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