Plat !
Année de
parution : 2002
Nombre de
pages : 191
ISBN : 978-2-264-04942-1
Editions : 10/18
Résumé
(quatrième de couverture) :
" Au commencement, il y a cette
peinture d'Edward Hopper qu'on peut voir à Chicago. J'ai dû l'apercevoir à
plusieurs reprises avant de m'en procurer une reproduction, un dimanche
d'ennui. Quand je l'ai installée dans mon appartement, elle m'a semblé curieusement
familière. Du coup, je ne lui ai pas vraiment prêté attention. Elle a traîné,
pendant plusieurs jours, dans son cadre posé contre un mur, à même le parquet
(du reste, elle y est encore).Un soir, sans intention particulière, j'ai
observé la femme en robe rouge de la peinture, assise au comptoir d'un café
nommé Phillies, entourée de trois hommes. Je me suis souvenu aussi de la
passion de Hopper pour les paysages de la Nouvelle-Angleterre. Alors, ça s'est
imposé à moi, sans que j'aie rien cherché. J'ai eu l'envie impérieuse de
raconter l'histoire de la femme à la robe rouge, et des trois hommes autour
d'elle, et d'un café à Cape Cod. Oui, cela a été clair en un instant. "
Quelques mots sur
l’auteur :
Philippe Besson
est l'auteur de En
l'absence des hommes, Son
frère (porté à l'écran par Patrice
Chéreau), L'Arrière-Saison (grand prix RTL-Lire), Un garçon d'Italie, Les
Jours fragiles, Un
instant d'abandon (les droits de ces trois derniers
romans ont été cédé pour le cinéma) et Se
résoudre aux adieux et Un
homme accidentel. Ses livres sont traduits en dix-sept langues.
Son dernier roman, La
trahison de Thomas Spencer, a paru en 2009 aux éditions Julliard. [Source_Amazon]
Maintenant, place
au livre !
Ce roman est
inspiré d'un tableau d'Edward
Hopper qui représente une femme vêtue d'une
robe rouge, assise à un bar, entourée de trois hommes.
Nous sommes
à Cape Cod aux Etats-Unis. Septembre est là mais l'été ne semble pas vouloir
s'en aller. Une certaine douceur plane sur cette ville.
Cette
histoire se déroule comme une pièce de théâtre, un huis-clos, qui respecte les
trois unités : lieu, temps, action et l'auteur réussit à y introduire toutes
sortes d'émotions, dans une ambiance électrique comme peut l'être une fin
d'après-midi orageuse.
Le café
Phillies était « leur bar » et Ben, le serveur, a connu Louise et Stephen à
l'époque où ils étaient amoureux et vivaient ensemble. Il connaît tout de
Louise car il l'a vu sombrer, souffrir, s'accrocher après leur séparation, mais
sans jamais sortir de son rôle de serveur, accueillant les confidences sans
juger.
Louise,
assise au bar, un Martini posé devant elle, est presque devenue une amie de
Ben, le serveur. Un silence règne entre eux mais ces deux-là n'ont pas besoin
de se parler pour se comprendre. Elle attend impatiemment Norman, son amant,
qui ne devrait pas tarder.
La porte s'ouvre, mais ce n'est pas l'être désiré qui apparaît mais Stephen, un de ses anciens amants. Est-ce le hasard qui les fait se réunir à nouveau? Ces deux êtres vont-ils réussir à se parler? Louise va-t-elle accepter de prendre un verre avec lui, malgré leur séparation douloureuse d'il y a cinq ans?
La porte s'ouvre, mais ce n'est pas l'être désiré qui apparaît mais Stephen, un de ses anciens amants. Est-ce le hasard qui les fait se réunir à nouveau? Ces deux êtres vont-ils réussir à se parler? Louise va-t-elle accepter de prendre un verre avec lui, malgré leur séparation douloureuse d'il y a cinq ans?
Je vous laisse découvrir ce livre.
Pour ma part, je n’ai pas accroché du tout ! Je
l’ai trouvé lent et poussif …
Bref, ce fut
tout de même une bonne découverte, je ne connaissais pas Philippe BESSON. Merci
Yvonne !
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