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27 juil. 2017

« Un avion sans elle » - Michel BUSSI

Épatant !


Année de parution : 2013
Nombre de pages : 573
ISBN : 978-2-266-23389-7
Editions : Pocket

Résumé (quatrième de couverture) :

23 décembre 1980. Un crash d’avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche : elle sera Émilie Vitral. Aujourd’hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ?
Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu’il s’apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu’il referme aussitôt, assassiné.
Il ne reste plus à Émilie qu’un vieux carnet de notes, des souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité…

Quelques mots sur l’auteur :

Michel Bussi, géographe et professeur à l’université de Rouen, a notamment publié aux Presses de la Cité, Nymphéas noirs, polar français le plus primé en 2011 (prix Polar méditerranéen, prix Polar Michel Lebrun de la 25e heure du Livre du Mans, prix des lecteurs du Festival Polar de Cognac, Grand Prix Gustave Flaubert, prix Goutte de Sang d’encre de Vienne). Un avion sans elle a reçu le prix Maison de la Presse en 2012, ainsi que le prix du Roman populaire, et s’est déjà vendu à plus de un million d’exemplaires en France. Ses ouvrages, qui rencontrent un grand succès international, notamment en Allemagne, en Angleterre et aux États-Unis, sont traduits dans 33 pays. Les droits de plusieurs d’entre eux ont été vendus pour le cinéma et la télévision. Il est aussi l’auteur, toujours aux Presses de la Cité, de Ne lâche pas ma main (2013), N’oublier jamais (2014) et Maman a tort (2015). Gravé dans le sable, paru en 2014, est la réédition du premier roman qu’il ait écrit, Omaha crimes, et le deuxième qu’il ait publié après Code Lupin (2006). Avec cet ouvrage, Michel Bussi avait obtenu le prix Sang d’encre de la ville de Vienne en 2007 et, en 2008, le prix littéraire du premier roman policier de la ville de Lens, le prix littéraire lycéen de la ville de Caen, le prix Octave Mirbeau de la ville de Trévières et le prix des lecteurs Ancres noires de la ville du Havre. Son dernier roman, Le temps est assassin, a paru en 2016 aux Presses de la Cité. En 2016, il est le deuxième auteur français le plus vendu en France selon le palmarès Le Figaro. [Source_Pocket]

Maintenant, place au livre !

Vu les nombreuses critiques élogieuses pour ce livre, nous voilà embarqué au bord de ce crash pour la lecture commune du mois de juillet de l’apéro littéraire !
Ah mes chers lecteurs, vous n’allez pas être déçu ! Enfin, si peut-être, par ma chronique !

23 décembre 1980 à 00h33, le vol Paris-Istanbul décroche ! Un crash d'avion sur le mont Terrible. A son bord, cent soixante-neuf passagers … cent soixante-huit périssent et un bébé de trois mois éjecté de l’avion lors de ce crash survit grâce aux flammes de l’avion et suffisamment loin pour ne pas l’atteindre.
Léonce de Carville fonce à l’hôpital pour reconnaître sa petite fille … Quand un deuxième grand-père fait son apparition !!!!
Comment départager ces deux familles ?! Toutes deux ont perdu leur enfants, seule une petite fille a survécu, mais qui est-elle ?

La presse s’engouffre dans le buzz … la justice fait loi, la petite fille est attribuée …
Et c'est là qu'intervient Crédule Grand-Duc. Missionné par Mathilde de Carville, charge à lui de découvrir l'origine de ce nourrisson.

Pendant 18 ans, Crédule Grand-Duc et son acolyte Nazim Ozan vont consacrer tout leur temps et leur énergie pour satisfaire la demande de Mathilde. Mais en 1998, alors que son contrat arrive à terme, Grand-Duc n'en sait toujours pas plus. Le bébé est devenue une magnifique jeune fille majeure et libre de décider de sa vie, le détective, déprimé par son échec, décide de mettre fin à ses jours.

Qui osera reprendre le flambeau ? La famille Vitral ? La famille de Carville ? Qui sait ? Le lecteur !

Les personnages sont très (trop) typiques voire caricaturaux. Le suspense se tient à peu près, mais il faut sauter les pages de description ou passages qui trainent en longueur !
L’histoire est bien ficelée, jamais je n’aurai prévu la fin ! Mais qu’est-ce que ça a été long pour y parvenir !!!

Je suis confuse dans mon ressenti ! Je n’ai pas accroché au style, trop long, trop lent ; mais l’histoire m’a plu !

Ce roman aurait pu faire moins de pages, vers les trois cent je dirais, en enlevant certains passages. Certains n’y ont pas leur place à mon goût !

Je pense que vous pourrez surement m’en dire plus ?!

Je vous laisse cette fois, ma foi, sur votre fin et croyez-moi, je n’en suis pas ravi !

Bonne lecture quand même J

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