Un abandon dans les steppes de
la Patagonie …
Année de parution : 2016
ISBN : 978-2207132562
Nombre de pages : 304
Editions : Denoël
Résumé
(quatrième de couverture) :
Patagonie. Dans la steppe balayée de vents glacés, un tout petit garçon
est poursuivi par trois cavaliers. Rattrapé, lancé de l’un à l’autre dans une
course folle, il est jeté dans un buisson d’épineux.
Cet enfant, c’est Rafael, et les bourreaux sont ses frères aînés. Leur mère ne dit rien, murée dans un silence hostile depuis cette terrible nuit où leur ivrogne de père l'a frappée une fois de trop. Elle mène ses fils et son élevage d’une main inflexible, écrasant ses garçons de son indifférence. Alors, incroyablement seul, Rafael se réfugie auprès de son cheval et de son chien.
Dans ce monde qui meurt, où les petits élevages sont remplacés par d’immenses domaines, l’espoir semble hors de portée. Et pourtant, un jour, quelque chose va changer. Rafael parviendra-t-il à desserrer l’étau de terreur et de violence qui l’enchaîne à cette famille?
Cet enfant, c’est Rafael, et les bourreaux sont ses frères aînés. Leur mère ne dit rien, murée dans un silence hostile depuis cette terrible nuit où leur ivrogne de père l'a frappée une fois de trop. Elle mène ses fils et son élevage d’une main inflexible, écrasant ses garçons de son indifférence. Alors, incroyablement seul, Rafael se réfugie auprès de son cheval et de son chien.
Dans ce monde qui meurt, où les petits élevages sont remplacés par d’immenses domaines, l’espoir semble hors de portée. Et pourtant, un jour, quelque chose va changer. Rafael parviendra-t-il à desserrer l’étau de terreur et de violence qui l’enchaîne à cette famille?
Quelques mots sur
l’auteur :
Née en 1970 à Paris, Sandrine
Collette passe un bac littéraire puis un master en philosophie et un doctorat
en science politique. Elle devient chargée de cours à l'Université de Nanterre,
travaille à mi-temps comme consultante dans un bureau de conseil en ressources
humaines et restaure des maisons en Champagne puis dans le Morvan.
"Des nœuds d’acier" (Denoël, 2013), son premier
roman, obtient le Grand Prix de littérature policière 2013.
En 2014, elle publie son second roman "Un vent de
cendres" (chez Denoël) qui revisite le conte La Belle et la Bête.
Devenue l'un des grands noms du thriller français, une fois
encore, elle montre son savoir-faire imparable dans "Six fourmis
blanches" (2015). "Il reste la poussière" (2016) obtient le Prix
Landerneau du polar. En 2017 paraît "Les larmes noires sur la terre".
Sandrine Collette partage son temps entre la région parisienne et son élevage
de chevaux dans le Morvan.
Maintenant, place
au livre !
Un abandon dans les steppes de
la Patagonie … Oui, il rare que j’abandonne un livre mais là, j’avoue que
celui-ci est un peu trop long et anxiogène à mon goût.
Le pauvre petit Rafaël …
Pour les curieux, l’histoire
se déroule dans les steppes arides et sèches de Patagonie. Seules les grosses
exploitations qui font commerce avec l'Europe survivent. C'est là que nous
retrouvons l'estancia. Une exploitation menée d'une main de fer par une mère
(si tenté qu’on puisse lui affubler cet adjectif) et ses quatre fils, les
jumeaux, Mauro et Joaquin, Steban et enfin, le petit dernier, Rafaël. Cette
femme silencieuse, froide, autoritaire, au cœur sec, leur mène la vie dure.
Alors qu’elle a tué son mari
pour un coup de trop, elle tait cette disparition à ses enfants.
Le petit dernier, Rafaël est
détesté et battu par ses frères. Son seul réconfort dans ce monde c’est son
chien et son cheval.
Sandrine COLLETTE nous
embarque au sein de cette famille haineuse dans un huis clos oppressant,
étouffant et anxiogène.
Un peu trop à mon goût. Je
n’ai pas aimé les longueurs présentes et cette atmosphère…
Son écriture à un style très
particulier dans ce livre, certes elle se met vraiment dans la peau de ses
personnages, mais j’ai beaucoup de mal …
Je suis curieuse d’avoir vos
retours car il m’est difficile d’abandonner un livre !
Peut-être ne suis-je pas dans
une période où je peux l’accueillir à sa juste valeur …
Merci d'écrire vrai. Je demande toujours à l'auteur (quand j'ai un contact avec lui). S'il refuse je ne suis pas partante.
RépondreSupprimerEn disant notre ressenti bien ou mal, nos "lecteurs" savent que nous sommes libres d'écrire et de penser sur nos lectures.
Bonne semaine, FLaure