Tant décrié en son temps et tellement criant
d’actualité !
Année de parution : 1768 (première version) 2001
ISBN : 978-2-253-00401-1
Nombre de pages : 480
Editions : Le
livre de poche
Résumé
(quatrième de couverture) :
La vengeance des femmes est terrible. La marquise de
Merteuil a jadis, été abandonnée par le comte de Gercourt. Elle demande à son
ancien amant, Valmont, de séduire la gracieuse et pure Cécile Volanges que le
comte doit épouser. Il sera ainsi la risée de Paris. Valmont, don juan toujours
en chasse, poursuit un autre but aussi maléfique : il veut séduire, parce
qu’il l’aime, une femme célèbre pour son esprit religieux, sa pudeur et sa
chasteté, la présidente de Tourvel. Officier d’artillerie, Choderlos de Laclos
applique des principes militaires : une place forte assiégée doit tomber.
Rien n’arrête les machinations diaboliques de la Merteuil et de Valmont. Ecrit
dans la langue admirable du XVIIIème siècle, ce roman par lettres a
fait et fait toujours scandale. Un chant d’amour est brutalement interrompu, le
Mal règne en maître, invaincu et funeste.
Quelques citations :
« Tu auras beau dire; ce qu'on dit
ne change pas ce qui est, et je suis bien sûre que c'est comme ça. »
« A
force de chercher de bonnes raisons, on en trouve; on les dit ; et après on y
tient, non pas tant parce qu'elles sont bonnes que pour ne pas se démentir. »
« L’humanité n’est parfaite dans aucun genre, pas
plus dans le mal que dans le bien. Le scélérat a ses vertus, comme l’honnête
homme a ses faiblesses. Cette vérité me paraît d’autant plus nécessaire à
croire, que c’est d’elle que dérive la nécessité de l’indulgence pour les
méchants comme pour les bons; et qu’elle préserve ceux-ci de l’orgueil, et
sauve les autres du découragement. »
« Croyez-moi,
Vicomte, on acquiert rarement les qualités dont on peut se passer. Combattant
sans risque, vous devez agir sans précaution. Pour vous autres hommes, les
défaites ne sont que des succès de moins. Dans cette partie si inégale, notre
fortune est de ne pas perdre, et votre malheur de ne pas gagner. »
« Et
si de l’obtenir je n’emporte le prix, j’aurai du moins l’honneur de l’avoir
entrepris. » La Fontaine
Quelques mots sur
l’auteur :
Né en 1741 à Amiens et mort en 1803 à Tarente. Pierre Ambroise François Choderlos de
Laclos, est un général et écrivain français.
Il est admis en 1760 à l’École royale d'artillerie de La Fère. Il est nommé successivement sous-lieutenant en 1761 puis lieutenant en second en 1762.
Il devient franc-maçon dans la loge L’Union, à Strasbourg de 1765 à 1769, à Grenoble de 1769 à 1775, puis à Besançon de 1775 à 1776. Cette année-là, affilié à la loge parisienne Henri IV, il en devient le Vénérable Maître. Parvenu dans les Hauts gradés de la franc-maçonnerie, il crée son propre chapitre, la Candeur. Nommé capitaine à l’ancienneté en 1771 - il le reste durant dix-sept ans jusqu’à la veille de la Révolution.
Pendant ses nombreux temps libres, il écrit. D'abord un opéra-comique intitulé "Ernestine" sans gloire. En 1777, il reçoit la mission d’installer une nouvelle école d’artillerie à Valence qui reçoit notamment le jeune Napoléon Bonaparte. De retour à Besançon en 1778, il est promu capitaine en second de sapeurs. En 1778, il commence à rédiger son chef-d’œuvre "Les Liaisons dangereuses". En 1781, promu capitaine-commandant de canonniers, il obtient une nouvelle permission de six mois, au cours de laquelle il achève son chef-d’œuvre. Il confie à l’éditeur Durand Neveu la tâche de le publier en quatre volumes qui sont proposés à la vente le 23 mars 1782.
En 1788, il quitte l’armée. Après une période de recherche personnelle du meilleur moyen de favoriser son ambition et diverses tentatives pour approcher un grand seigneur, il entre au service du duc d’Orléans dont il partage les idées sur l’évolution de la royauté. Pendant la Révolution, il a plusieurs rôles importants, s'inscrivant au Club des Jacobins en 1790. Finalement, il fait la connaissance du jeune général Napoléon Bonaparte, le nouveau Premier Consul et se rallie aux idées bonapartistes. Le 16 janvier 1800, il est réintégré comme général de brigade d’artillerie et affecté à l’Armée du Rhin, où il reçoit le baptême du feu à la bataille de Biberach. Affaibli par la dysenterie et le paludisme, il meurt à Tarente est enterré sur place. [Source_Babelio]
Il est admis en 1760 à l’École royale d'artillerie de La Fère. Il est nommé successivement sous-lieutenant en 1761 puis lieutenant en second en 1762.
Il devient franc-maçon dans la loge L’Union, à Strasbourg de 1765 à 1769, à Grenoble de 1769 à 1775, puis à Besançon de 1775 à 1776. Cette année-là, affilié à la loge parisienne Henri IV, il en devient le Vénérable Maître. Parvenu dans les Hauts gradés de la franc-maçonnerie, il crée son propre chapitre, la Candeur. Nommé capitaine à l’ancienneté en 1771 - il le reste durant dix-sept ans jusqu’à la veille de la Révolution.
Pendant ses nombreux temps libres, il écrit. D'abord un opéra-comique intitulé "Ernestine" sans gloire. En 1777, il reçoit la mission d’installer une nouvelle école d’artillerie à Valence qui reçoit notamment le jeune Napoléon Bonaparte. De retour à Besançon en 1778, il est promu capitaine en second de sapeurs. En 1778, il commence à rédiger son chef-d’œuvre "Les Liaisons dangereuses". En 1781, promu capitaine-commandant de canonniers, il obtient une nouvelle permission de six mois, au cours de laquelle il achève son chef-d’œuvre. Il confie à l’éditeur Durand Neveu la tâche de le publier en quatre volumes qui sont proposés à la vente le 23 mars 1782.
En 1788, il quitte l’armée. Après une période de recherche personnelle du meilleur moyen de favoriser son ambition et diverses tentatives pour approcher un grand seigneur, il entre au service du duc d’Orléans dont il partage les idées sur l’évolution de la royauté. Pendant la Révolution, il a plusieurs rôles importants, s'inscrivant au Club des Jacobins en 1790. Finalement, il fait la connaissance du jeune général Napoléon Bonaparte, le nouveau Premier Consul et se rallie aux idées bonapartistes. Le 16 janvier 1800, il est réintégré comme général de brigade d’artillerie et affecté à l’Armée du Rhin, où il reçoit le baptême du feu à la bataille de Biberach. Affaibli par la dysenterie et le paludisme, il meurt à Tarente est enterré sur place. [Source_Babelio]
Maintenant place au livre !
Certes, la
langue « admirable du XVIIIème
siècle » est très compliqué à suivre au début et peut en dérouter plus
d’un ! Moi au début j’ai eu envie de fermer le livre et de passer à autre
chose ! Oui j’avoue, je n’ai pas honteJ,
mais j’ai insisté et j’en suis bien contente au final.
Avez-vous vu « sexe intentions », le film sorti
en 1999 ? Arf dommage ! Ce sont les mêmes personnages, mais ramené à
l’actuel. EXACTEMENT !
Alors je ne vais pas vous bassiner 30 ans ! Oui, j’ai
aimé cette manipulation et cette stratégie militaire déployée par une Marquise
complètement aveuglée par la vengeance. Je suis fasciné par cette
marquise ! De toute cette arrogance qu’elle est capable de déployer. De
cette maîtrise d’elle-même !
J’ai apprécié l’amour qui retourne une personne parce
qu’elle découvre ce sentiment jamais tâté du bout des doigts.
Cécile m’a horripilé ! Elle est niaise et trop naïve
à mon goût ! Et Danceny ! Bon-sang mais ce n’est pas vrai d’être
aussi naïf pour un homme de son rang ! Enfin, il faut replonger ce livre
dans l’époque où il a été écrit et se rappeler que les mœurs étaient bien loin
d’être celles d’aujourd’hui !
C’est diabolique et magique. Pleins de sagesse et de
narcissisme. D’égoïsme et de naïveté. Comme quoi, au final, la nature humaine
reste la même malgré le temps qui passe.
Les liaisons dangereuses peuvent amener à des malheurs.
La vengeance d’une femme peut être terrible et emporter dans sa déchéance bien
des dommages collatéraux !
Alors, roman moral ou immoral ?
Ah aha vous êtes bien aise maintenant de me donner votre
avis… J
Résumé du livre … ………………………………..SPOILER ALERTE !……………………………………………………..
[Source_www.bacfrancais.com]
Partie
I : Lettres 1 à 50
Le Vicomte de Valmont, en séjour au château de sa tante Mme de Rosemonde, reçoit une lettre de Mme de Merteuil : elle lui demande de corrompre avant son mariage Cécile de Volanges, promise au comte de Gercourt. Merteuil ne pouvant souffrir d'avoir été délaissée par ce dernier souhaite vivement se venger.
Mais Valmont refuse l'offre de sa complice aspirant à d'autres desseins : séduire la très prude et dévote Mme de Tourvel qui séjourne, en ce moment même, au château de Mme de Rosemonde.
Blessée par ce refus, Mme de Merteuil pique l'orgueil du comte en l'accusant de sensiblerie. L'amour est un sentiment ridicule et contraire aux lois du libertinage. Offensée par l'obstination du Comte, Mme de Merteuil, femme de pouvoir qui ne saurait être contrariée, défie son complice : s'il parvient à séduire Mme de Tourvel, elle s'offrira en récompense.
Au château de Mme de Rosemonde, Valmont tente de charmer Mme de Tourvel. Mais celle-ci reçoit une lettre de Mme de Volanges qui l'exhorte à se méfier de ce libertin. La dévote décide de faire surveiller son prétendant. Alerté, le comte de Valmont sait tirer profit de la situation : il affiche ostensiblement une générosité feinte en payant les dettes d'un père de famille. Comme espéré, Tourvel est vivement émue par cette bienveillance. Le comte profite de cette opportunité pour se déclarer, en vain. Il est éconduit et leur correspondance est interrompue. Une lettre parvient néanmoins à Mme de Tourvel : elle la lit et la déchire sous les yeux de son soupirant qu'elle enjoint de quitter le château.
Valmont s'exécute mais fait promettre à sa victime de reprendre leur correspondance.
Le Vicomte de Valmont, en séjour au château de sa tante Mme de Rosemonde, reçoit une lettre de Mme de Merteuil : elle lui demande de corrompre avant son mariage Cécile de Volanges, promise au comte de Gercourt. Merteuil ne pouvant souffrir d'avoir été délaissée par ce dernier souhaite vivement se venger.
Mais Valmont refuse l'offre de sa complice aspirant à d'autres desseins : séduire la très prude et dévote Mme de Tourvel qui séjourne, en ce moment même, au château de Mme de Rosemonde.
Blessée par ce refus, Mme de Merteuil pique l'orgueil du comte en l'accusant de sensiblerie. L'amour est un sentiment ridicule et contraire aux lois du libertinage. Offensée par l'obstination du Comte, Mme de Merteuil, femme de pouvoir qui ne saurait être contrariée, défie son complice : s'il parvient à séduire Mme de Tourvel, elle s'offrira en récompense.
Au château de Mme de Rosemonde, Valmont tente de charmer Mme de Tourvel. Mais celle-ci reçoit une lettre de Mme de Volanges qui l'exhorte à se méfier de ce libertin. La dévote décide de faire surveiller son prétendant. Alerté, le comte de Valmont sait tirer profit de la situation : il affiche ostensiblement une générosité feinte en payant les dettes d'un père de famille. Comme espéré, Tourvel est vivement émue par cette bienveillance. Le comte profite de cette opportunité pour se déclarer, en vain. Il est éconduit et leur correspondance est interrompue. Une lettre parvient néanmoins à Mme de Tourvel : elle la lit et la déchire sous les yeux de son soupirant qu'elle enjoint de quitter le château.
Valmont s'exécute mais fait promettre à sa victime de reprendre leur correspondance.
Le comte de Valmont
apprend l'identité ce celle qui a osé lui nuire : Mme de Volanges. Il
décide d'accepter l'offre de Mme de Merteuil : par la fille, il se vengera
de la mère.
Pendant ce temps,
Mme de Merteuil fait dispenser des cours de musique à la jeune Cécile. Là, la
jeune femme rencontre le chevalier Danceny dont elle s'éprend. Confuse par la
violence de ses sentiments, Cécile se confie à Merteuil. Celle-ci la conseille,
excite sa passion. Mais un jour, Cécile s'esquive sans explication.
Partie II :
Lettres 51 à 87
Cécile est toujours éprise du chevalier Danceny mais sur les conseils d'un ecclésiastique elle fuit sa troublante présence. Mme de Merteuil ne tarde pas à s'en mêler : en prétextant un rendez-vous d'adieu, elle organise la rencontre des deux jeunes gens. Danceny s'avère incapable de profiter de l'opportunité qui lui est offerte. La vertu de Cécile demeure intacte, au grand désespoir de Merteuil qui s'impatiente.
Lassée, Mme de Merteuil dénonce les amours défendus de Cécile à sa mère. La jeune fille est aussitôt envoyée chez Mme de Rosemonde.
Valmont rejoint le château de sa tante. Là, il réussit à obtenir la confiance de la jeune protégée et parvient à subtiliser les clés de sa chambre.
Cécile est toujours éprise du chevalier Danceny mais sur les conseils d'un ecclésiastique elle fuit sa troublante présence. Mme de Merteuil ne tarde pas à s'en mêler : en prétextant un rendez-vous d'adieu, elle organise la rencontre des deux jeunes gens. Danceny s'avère incapable de profiter de l'opportunité qui lui est offerte. La vertu de Cécile demeure intacte, au grand désespoir de Merteuil qui s'impatiente.
Lassée, Mme de Merteuil dénonce les amours défendus de Cécile à sa mère. La jeune fille est aussitôt envoyée chez Mme de Rosemonde.
Valmont rejoint le château de sa tante. Là, il réussit à obtenir la confiance de la jeune protégée et parvient à subtiliser les clés de sa chambre.
La correspondance
entre Valmont et Mme de Tourvel se poursuit : l'intrigant lui avoue avoir
découvert l'amour grâce à elle. Flattée, elle lui offre son amitié. Mais ce
n'est point son amitié qu'il désire.
Partie
III : Lettres 88 à 124
Au milieu de la nuit, Valmont pénètre dans la chambre de Cécile. Le pêché est consommé.
Rongée par la culpabilité, elle demande conseil à Mme de Merteuil. Celle-ci l'exhorte à se livrer toute entière à l'amour.
Un jour, Mme de Volanges, ignorant tout de la dépravation nocturne de sa fille, s'inquiète de voir Cécile si épuisée. Sa séparation d'avec le chevalier Danceny lui est-elle néfaste ?
Préoccupée, Mme de Volanges envisage d'unir Danceny à sa fille.
Mais Merteuil, alertée, l'en dissuade. D'ailleurs la jeune Cécile est déjà enceinte.
Au milieu de la nuit, Valmont pénètre dans la chambre de Cécile. Le pêché est consommé.
Rongée par la culpabilité, elle demande conseil à Mme de Merteuil. Celle-ci l'exhorte à se livrer toute entière à l'amour.
Un jour, Mme de Volanges, ignorant tout de la dépravation nocturne de sa fille, s'inquiète de voir Cécile si épuisée. Sa séparation d'avec le chevalier Danceny lui est-elle néfaste ?
Préoccupée, Mme de Volanges envisage d'unir Danceny à sa fille.
Mais Merteuil, alertée, l'en dissuade. D'ailleurs la jeune Cécile est déjà enceinte.
Pendant ce temps,
Mme de Tourvel qui s'est éprise de Valmont refuse de le voir. Un hasard les
amène néanmoins à se rencontrer : avant qu'elle ne s'esquive dans ses
appartements, Valmont parvient à pénétrer dans sa chambre. Mais elle résiste
aux assiduités amoureuses du Comte.
Convaincu de sa prochaine victoire, Valmont envoie une lettre à Mme de Merteuil. Mais son triomphe est de bien courte durée : le lendemain, il découvre que sa proie a déserté le château.
Le comte subit la morgue de Mme de Merteuil.
Mais la ruse vient à bout de toutes les volontés : Valmont prétexte une rupture définitive avec sa victime et la restitution de leur correspondance pour la rencontrer.
Convaincu de sa prochaine victoire, Valmont envoie une lettre à Mme de Merteuil. Mais son triomphe est de bien courte durée : le lendemain, il découvre que sa proie a déserté le château.
Le comte subit la morgue de Mme de Merteuil.
Mais la ruse vient à bout de toutes les volontés : Valmont prétexte une rupture définitive avec sa victime et la restitution de leur correspondance pour la rencontrer.
Partie
IV : Lettres 125 à 175
Lors de sa rencontre avec Valmont, Mme de Tourvel finit par céder à ses avances.
Afin de prouver à sa complice, Mme de Merteuil, qu'il n'est point épris de sa victime, le comte passe la soirée avec une jeune prostituée, Emilie. Mais à la sortie de l'opéra, il est surpris par Mme de Tourvel. Accablée par cette trahison, elle refuse de le revoir… Mais il réussit à s'innocenter.
Lors de sa rencontre avec Valmont, Mme de Tourvel finit par céder à ses avances.
Afin de prouver à sa complice, Mme de Merteuil, qu'il n'est point épris de sa victime, le comte passe la soirée avec une jeune prostituée, Emilie. Mais à la sortie de l'opéra, il est surpris par Mme de Tourvel. Accablée par cette trahison, elle refuse de le revoir… Mais il réussit à s'innocenter.
Quand Valmont
réclame sa récompense, Mme de Merteuil se dérobe. Piquée par la jalousie, elle
rédige elle-même la lettre de rupture qui sera envoyée à Mme de Tourvel. Le
coup porté par les deux libertins à la dévote est fatal.
Triomphante, Merteuil raille son complice : en l'éprouvant, elle a su mesurer son ascendant sur lui, son pouvoir.
Valmont l'enjoint de choisir. Si elle se refuse à lui, elle entérinera leur inimitié.
La guerre est déclarée : Valmont incite Cécile à se déclarer à Danceny. Mme de Merteuil dévoile les amours coupables du Comte et de Cécile au Chevalier. Le duel qui oppose Danceny au comte trouve une issue funeste : Valmont meurt.
Avant de mourir, le comte révèle la vérité à Danceny : le projet machiavélique, les lettres de sa complice.
Mme de Merteuil est honnie. Rejetée de tous, vérolée, elle se réfugie en Hollande.
Triomphante, Merteuil raille son complice : en l'éprouvant, elle a su mesurer son ascendant sur lui, son pouvoir.
Valmont l'enjoint de choisir. Si elle se refuse à lui, elle entérinera leur inimitié.
La guerre est déclarée : Valmont incite Cécile à se déclarer à Danceny. Mme de Merteuil dévoile les amours coupables du Comte et de Cécile au Chevalier. Le duel qui oppose Danceny au comte trouve une issue funeste : Valmont meurt.
Avant de mourir, le comte révèle la vérité à Danceny : le projet machiavélique, les lettres de sa complice.
Mme de Merteuil est honnie. Rejetée de tous, vérolée, elle se réfugie en Hollande.
Epilogue
Une lettre anonyme recommande à Danceny de partir. Le chevalier s'exile à Malte.
Après sa fausse couche, Cécile se réfugie dans un monastère. Quant à Mme de Tourvel, elle meurt de chagrin après avoir appris la mort du comte de Valmont.
Une lettre anonyme recommande à Danceny de partir. Le chevalier s'exile à Malte.
Après sa fausse couche, Cécile se réfugie dans un monastère. Quant à Mme de Tourvel, elle meurt de chagrin après avoir appris la mort du comte de Valmont.
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