Un thriller qui nous transporte de la Russie à
Paris !
Année de
parution : 2017
ISBN : 978-2-37610-038-6
Nombre de pages : 560
(lu en version numérique)
Editions : Incartade(s)
Résumé
(quatrième de couverture) :
Je m'appelle Paul
Heyland. Je suis flic, commissaire à la Crim. Lorsque j'ai été affecté au
meurtre de Julien Delatour, assassiné un froid matin d'hiver dans une chambre
d'hôtel de luxe, je n'y ai vu qu'une sale enquête de plus... J'avais tort. Je
me souviens encore des lumières blafardes de cette salle d'interrogatoire où je
l'ai rencontrée, la suspecte que tout accusait. Une Ukrainienne aux yeux gris.
Belle, triste, mystérieuse. J'aurais dû me douter que tout cela allait mal se
terminer... Pourquoi suis-je resté sourd aux voix qui me chuchotaient à
l'oreille de tourner le dos et m'enfuir ? C'était le début de la fin. Une
longue course semée de cadavres, comme autant de cailloux blancs laissés à mon
attention, qui allait m'entraîner dans une poursuite effrénée jusqu'aux confins
d'une Russie encore hantée par les fantômes du passé. Au bout de la route, je
savais que je n'en sortirais pas indemne. Tous ces macchabées croisés durant ma
carrière de flic me l'avaient déjà annoncé. Mais depuis l'instant où j'avais
croisé son maudit regard gris, je n'avais plus le choix...
Quelques
citations :
« Ce qui m’a
toujours choqué sur le lieu d’un crime, c’est cette paix surréelle qui plane
sur toute chose, comme si l’acte lui-même avait épuisé toute la violence et la
fureur disponible »
« A croire que
chacun d’entre nous vit dans une réalité entièrement dissociée de celle des
autres. »
« La société
dans laquelle nous évoluons n’est qu’un grand organisme, pareil au corps
humain. La graine de notre destruction, c’est nous-mêmes qui la semons. »
Quelques mots sur
l’auteur :
Une des « étoiles montantes parmi les nouveaux auteurs »
(IDBoox), doté d’une « grande élégance d’écriture » (NouvelObs.com), Patrick
Ferrer fait partie des nouveaux talents ayant émergé de l’édition numérique.
Son premier roman, « Le baiser de Pandore », a été sélectionné par Amazon comme
l’un des dix meilleurs ouvrages autoédités de 2015. Il a rapidement atteint le
sommet des ventes et y est resté pendant six mois, atteignant aujourd’hui plus
de 10.000 exemplaires vendus. Ce succès remarquable pour un premier roman lui
vaudra d’être publié à l'été 2017 par une maison d’édition parisienne.
Patrick excelle également dans la littérature courte et ses nouvelles et contes sont régulièrement publiées dans divers recueils et magazines nationaux, ainsi que sur les grands réseaux de diffusion numériques, atteignant plusieurs centaines de milliers de lecteurs chaque année. [Source_SP]
Patrick excelle également dans la littérature courte et ses nouvelles et contes sont régulièrement publiées dans divers recueils et magazines nationaux, ainsi que sur les grands réseaux de diffusion numériques, atteignant plusieurs centaines de milliers de lecteurs chaque année. [Source_SP]
Maintenant, place
au livre !
Nous déboulons dans les faubourgs de Kiev en 1987, dans
un institut pour les « débiles » [dixit le roman]. Suite à la
politique en place et Tchernobyl qui n’a sans aucun doute rien arrangé, l’URSS
a mis en place des institutions pour les enfants atteints de handicaps. C’est
dans cette institution que nous faisons la connaissance de Delia et de Doushka
des jumelles fusionnelles à la vie complexe.
Nous voici à Paris en 1995, alors que Julien Delatour vient
de se faire assassiner dans une chambre d’hôtel, nous rencontrons Paul Heyland,
enquêteur à la Crim et son partenaire Ariel.
Alors que cette enquête s’annonce des plus compliquée,
entre politique et service secret, la présumée coupable est arrêtée. Paul va
ainsi croiser le chemin de Delia. Cependant, cette coupable va leur réserver
bien des surprises !
C’est avec rythme et suspense que nous allons évoluer
dans le temps et les différents milieux pour comprendre ce qui a pu se passer.
L’enquête s’avère être un vrai sac de nœuds que Paul et son acolyte Ariel vont devoir
démêler.
On plonge avec eux dans une histoire fascinante et
captivante. 560 pages ? Me direz-vous c’est long ! Mais non, ce n’est
pas vrai, je ne les ait pas vu passer !
Les personnages sont complexes, ce qui nous permet de
chercher à comprendre, gratter un peu pour savoir et là l’auteur nous amène sur
un plateau leur enfance, leur esprit pour nous donner quelques clés, toutefois
en nous laissant suffisamment d’espace pour imaginer…
Avec un rythme bien proportionné, nous évoluons entre
présent et passé, entre les uns et les autres. En tant que lecteur, nous
recherchons sans cesse à rassembler les pièces du puzzle sans jamais vraiment
arriver à mettre tout bout à bout … Il faudra attendre une partie ultime pour
comprendre …
Les surprises jalonnent ce roman et c’est agréable pour
le lecteur.
Personnellement, j’ai passé un bon moment. Il semblerait
que selon comme votre esprit est fait, vous vous torturiez encore après avoir
lu ce livre.
Il est bien psychologique J et c’est ce que j’apprécie
dans un livre.
Merci Monsieur Ferrer pour cette découverte…
Je vous souhaite chers amis lecteurs une bonne
lecture !
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