Un justicier au cœur de glace, qui fond comme neige au
soleil quand il rencontre l’amour …
Année de
parution : 2017
Nombre de pages : 139
ISBN : 978-9523400269
Editions : Atramenta
Résumé
(quatrième de couverture) :
Handrew est un
homme intelligent, cultivé qui se caractérise par une certaine classe, adepte
des bonnes manières. Les crimes du Comte de Lokis obéissent à une logique et à
un sens moral qui lui sont propres. Punir les coupables et venger les
innocents, réparant ainsi le laxisme de la justice. La conscience d’Handrew ne
réprime pas ses actes. Pour les autres, c’est un individu doté d’un très grand
pouvoir de manipulation et d’analyse, ce qui fait de lui un prédateur
redoutable. Mais pour Célia, il a cet aspect paternel rassurant dont elle
manque atrocement depuis ses neuf ans. À l’enterrement de son père, elle se
souvient avoir été profondément triste, mais n’avoir même pas versé une larme.
Depuis ce jour, elle s’est construit une carapace de guerrière, s’interdisant
tout lâcher-prise. Ses rapports sont peut-être stables, mais totalement dénués
d’affectivité. Ses amis la considèrent comme insensible, mais un seul a compris
que derrière ce masque se cache une hyperémotive qui se protège.
Elle est l’ordre, il est le talion et pourtant ils ont besoin l’un de l’autre pour se sortir de leur prison intérieure.
Embarquez dans les aventures de deux êtres que tout oppose.
Suivez-les des États-Unis à la Lituanie en passant par l’Italie et découvrez comment l’amour peut changer vie et destin.
Elle est l’ordre, il est le talion et pourtant ils ont besoin l’un de l’autre pour se sortir de leur prison intérieure.
Embarquez dans les aventures de deux êtres que tout oppose.
Suivez-les des États-Unis à la Lituanie en passant par l’Italie et découvrez comment l’amour peut changer vie et destin.
Quelques
citations :
« Le corps se soigne avec le jeu, l’esprit avec le
rire, l’âme avec la joie. »
« L’illusion ne se trouve pas dans la main du
magicien, mais dans l’œil de celui qui regarde »
« Les jours passent, les gens courent après les
minutes, toujours trop pressés à ne rien faire finalement. À vouloir trop
s’agiter, ils ne font que brasser du vent. »
« Les larmes ne nous délivrent pas. Pour lui,
pleurer indique que l’on a pleinement retrouvé la mémoire d’un événement
traumatique, mais seule sa mise en mots joue un rôle thérapeutique. »
« Respirer, aimer, être heureux, profiter des petits
riens qui font du bien. C’est la seule chose urgente, le reste n’est à leurs yeux
que secondaire… »
« Le parfum est bien plus qu’une coquetterie, c’est
un plaisir de tous les sens qui transforme celle qui le porte. »
« « Parfumez-vous là où vous souhaitez être
embrassée », là où palpite le sang. Le pouls fera doucement s’éveiller la
fragrance. »
Quelques mots sur
l’auteure : par Marie-Christine BELZ elle-même
Anti conventionnelle et autodidacte, j'ai, depuis mon
plus jeune âge, aimé écrire. Adolescente, c’était plus qu’un refuge, l’occasion
de me créer une autre vie. Après presque 20 ans de carrière à la Poste, je me
retrouve exclue du monde du travail à cause d’une maladie. Je décide d’utiliser
ce temps libre à l’écriture...
Maintenant, place
au livre !
Outre la mise en bouche offerte par la quatrième de
couverture, allons voir un peu plus loin le plat de résistance …
Un justicier au cœur de glace, qui fond comme neige au
soleil quand il rencontre l’amour … Oui, Célia est sens dessus-dessous avec
cette histoire ! Oui, elle bosse au FBI et est chef d’équipe. Enfin était …
Dans ce milieu d’hommes, masos et sexistes, il est très
compliqué de se faire une place quand on est une femme ! Elle dégringole les
étages …
Heureusement le Comte de Lokis est là, il a fait beaucoup
de chemin pour la serrer dans ses bras et ouvrir sa carapace de guerrière. Ils
tombent éperdument amoureux l’un de l’autre, sauf que la vie étant difficile,
leur amour va être compliqué…
Notre justicier aux méthodes peu orthodoxes, va devoir
retourner dans sa cachette … à Florence. L’attendra-t-il ? Ira-t-elle le
rejoindre ?
Comment vont-ils pouvoir vivre leur amour aussi loin l’un
de l’autre ?
Entre New-York et la Lituanie, en passant par Florence, l’amour
explose dans ces cœurs…
C’est mignon, c’est gentil avec une petite intrigue…
Mais, oui, il y a un mais !
Le style d’écriture (forme des phrases) est sympa. Le
rythme par contre est très (trop) cassé
(c’est un sentiment personnel), en
effet, on est happé par un moment de vie, puis pouf ça s’arrête, on passe vite
à l’étape suivante et rebelote. J’avoue que ça m’a sorti un peu de l’histoire
à pas mal d’endroit.
Le fait que l’histoire, malgré des thèmes et sujets assez
fort, soit légère, c’est plutôt bien. Même si pour ma part, j’aurai aimé rentrer
un peu plus dans le détail des personnages, de leur vie, de leurs sentiments,
etc. J
Cependant, le personnage d’Handrew lui, est très bien
dessiné et prend une réelle place dans l’histoire. J’ai un peu moins accroché à
Célia, car j’aurai aimé en savoir d’avantage…
Mais qui sait, c’est peut-être dans le Tome 2 ?
Les thèmes abordés sont la différence d’âge entre deux
personnes qui s’aiment, parfois difficile à supporter par le regard des autres,
la jalousie et être père à 50 ans.
C’est sujets sont attrayants et le plus de l’auteure, elle a du talent c’est certain. Cependant, je pense qu’en approfondissant un peu plus
certaines choses, ce livre pourrait être plus prenant…
L’avez-vous lu, je suis curieuse d’avoir votre ressenti … ?
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