Pourrait-on
revenir à l'essentiel ?
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Année
de parution : 2020
Nombre
de pages : 200
ISBN: 978-B08QW114SW
Editions :
Autoedition
***Résumé
(quatrième de couverture) :***
« Ils
sont non-violents. Ils peuvent lire dans les pensées. Ils sont de
trop. Ils doivent mourir.
J’ai
écrit « Le Dernier Temps » après avoir vu l’épisode de la
marche du sel en Inde, magnifiée dans le film « Gandhi » de
Richard Attenbourough. Je me suis demandé si une attitude
non-violente était encore possible dans notre monde. Mon
interrogation portait aussi sur la capacité de chacun à affronter
des événements dont l’ampleur le dépasse.
La
« grande histoire » est celle des Errants, peuple non-violent,
capable de lire dans les pensées. Ils reviennent sur leur monde.
Mais il a changé. Et ils sont de trop.
La
« petite histoire » est la romance entre Joar, anthropologue envoyé
pour les étudier, et Phéelle, jeune femme aux capacités si
singulières.
Mais
la petite histoire est peut-être la grande.
Les
Errants, peuple nomade issu de la diaspora terrienne, reviennent sur
leur planète d’accueil, transformée entre-temps en base
industrielle. Un anthropologue est envoyé pour sonder leurs
intentions. Sa rencontre avec une jeune autochtone bouscule ses
convictions. Il découvre une communauté différente de toutes
celles qu’il a étudiées jusque-là. Non-violents, poètes, les
Errants s’exercent depuis des générations à élargir leur champ
de conscience et sont capables de lire dans les pensées. Mais leur
monde a changé et les Errants sont de trop.
Pour
autant, j’ai souhaité beaucoup de douceur dans ce récit.
L’anthropologue va découvrir des expériences extra-sensorielles
nouvelles. Sa romance défendue, au vu de ses principes, va l’ouvrir
à des émotions et à des voyages inattendus.
Le
choix d’un monde futuriste est un prétexte. Les droits des peuples
à disposer d’eux-mêmes, à la différence, à habiter un monde où
les intérêts économiques ne sont pas rois, sont des combats
d’aujourd’hui.
Ce
récit relève du conte. Il est sans illusion et sans concession. Il
est dédié à tous ceux qui veulent croire en leurs forces
intérieures, en leurs capacités ou pas d’influer la marche du
monde, en un « ailleurs ». Surtout pas aux seuls fans
d’anticipation.
Jean
K. Saintfort »
***Quelques
mots sur l'auteur***
L’écrivain
français Jean K. SAINTFORT a une formation en anthropologie et en
économie. Il est diplômé de l’École des Hautes Études en
Sciences Sociales, à Paris. Voyageur impénitent, il a choisi pour
devise : « Je cherche à rencontrer chacun, parce que chacun m’est
supérieur en quelque chose. »
Pour
lui, un roman est un instant privilégié pour passer un bon moment.
Le style de l’auteur est marqué par une écriture fluide et pleine
de charme, presque poétique. La psychologie subtile de ses
personnages et un suspens implacable plongent le lecteur dans un
besoin irrépressible de tourner les pages.
Jean
K. SAINTFORT explore différents genres, sillonnant les univers. Il
écrit aussi du bien des romans « feel good » que des récits
d’anticipation. Incurable romantique, il donne toujours une place à
la romance dans chacun de ses livres.
Avec
beaucoup de pédagogie, il nous offre d’étonnantes découvertes.
Son roman « Les secrets de la maison de France », sorti à l’été
2020, nous transporte au cœur de la psychogénéalogie et des
secrets de famille. Avec une facilité déconcertante, il nous fait
également, mine de rien, appréhender les complexités des héritages
successoraux, apprendre des techniques de peinture, découvrir des
meubles secrets et participer à des vide-greniers.
Il
est peu courant qu’un roman auto-édité soit, dans les mois qui
suivent sa sortie, salué par des critiques de journalistes et
chroniqueurs, qui plus est dans une période aussi difficile que
celle de la Covid ; tel Jean-Louis BEAUCARNOT, « pape » de la
généalogie en France, ou encore Florence GANIVET, de la revue
Conseils des notaires.
Son
premier roman lui a permis de rencontrer JJ VITIELLO, l’artiste
peintre aérographe international. Ce dernier lui a proposé de
réaliser la couverture de son second roman. L’homme et la femme
qui y sont présentés sont issus d’un tableau qui a gagné le Prix
« Mona Lisa La Joconde Prix international d’art 2019 Academia
italia in arte nel Mondo associazione culturale ». Ce prix a été
remis dans la catégorie peinture, dans le cadre du concours :
diffusion de la connaissance, de la défense et de l’affirmation de
l’Art et des « Droits de l’Homme ».
«
Le Dernier Temps » est sorti à la toute fin de l’année 2020.
Jean K. SAINTFORT y explore les pouvoirs de l’être humain et les
ressorts de la non-violence face aux intérêts économiques des
multinationales. On y parle d’intuition, de méditation, de
«musique des étoiles», de rebelles et de chambre d’enfant… Ses
héros sont non-violents et lisent dans les pensées. Mais, ils
«dérangent».
Auprès
de professionnels de tous métiers, Jean K. SAINTFORT a mené une
carrière d’abord à son compte, en indépendant, puis, ensuite,
dans des structures collectives. Il a travaillé dans les mondes de
la formation, des ressources humaines et du développement des
compétences. Envers et contre tout, il veut croire que l’être
humain est capable de s’améliorer. La prise de postes à
responsabilité l’a confronté à de réels conflits de valeur.
Il
privilégie désormais l’écriture pour exprimer sa passion de la
compréhension des clés du monde et du développement personnel. Il
s’est fixé pour objectif de publier un roman par an.
Sans
illusion et sans concession, Jean K. SAINTFORT recherche les clés du
bonheur dans un monde de plus en plus incertain.
[Source_Editeur]
***Maintenant,
place au livre !***
Pourrait-on revenir à
l'essentiel ?
Ma Chère Lectrice, Mon
Cher Lecteur, je vous embarque dans un livre, plutôt conte
philosophique dans un monde futuriste. Jean K. Saintfort nous
transmet beaucoup de sujets forts, de réflexions sur notre monde et
ses conséquences. Peut-on suivre ce chemin qui remplit d'allégresse
les travers cachés de l'être humain ? Ou sommes-nous capable
de revenir à l'essentiel ? Merci Jean pour ce cadeau, merci au
groupe Des nourritures livresque pour le calendrier de l'avent qui a
ravi plus d'un membre 😉
Les Loulous, je ne vous
raconterai pas plus que ce qui se trouve dans le résumé (lettre de
l'auteur) adressé à son lectorat. Mais je vais plutôt vous
raconter la beauté des mots et la façon dont raconte le narrateur
et personnage principal Joar, anthropologue, raconte son histoire.
Sa rencontre avec les
Errants et plus particulièrement Phéelle est juste enivrante,
époustouflante. Ce peuple si singulier a été capable d'évoluer
avec le monde qui l'entoure et de se satisfaire de certaines choses,
les plus simples.
En revanche, l'être
humain, a eu besoin de s'étendre, d'industrialiser, d'aller toujours
plus loin dans la quête de gain, dans la quête d'un meilleur. Mais
quel meilleur ? Celui qui engrange de l'argent. Sommes-nous si
peu attentif à notre environnement qu'il est plus simple d'aller
ailleurs, pour repartir d'une page blanche et refaire les mêmes
erreurs ? N'est-on pas capable de balayer chez soi et remettre
sur pied un idéal essentiel ?
L'histoire de ce livre,
de ce conte philosophique, de ce roman d'anticipation, c'est surtout
l'histoire de la paix, de la reconnaissance de l'autre, vivre sur un
même pied d'égalité et comprendre que nous pouvons évoluer
ensemble sans se bouffer les uns les autres. Sans s'écraser !
Mais au contraire, s'épauler, se lever ensemble et améliorer nos
vies dans tous les sens du terme et pourquoi pas notre planète 😉 Mais aurons nous le temps ? Avant que la dernière ait sonnée...
Enfin bref, malgré la
poésie des mots, il y a également du rythme et du suspense !
On serre les dents quand on se rend compte des malversations, des
mensonges et des manipulations. On est en colère contre les uns et
les autres. On s'est attaché à certains personnages et on enrage de
voir ce qu'il se passe ! Jean K. Saintfort a réussi à écrire
un roman prenant, dynamique et plein de réflexions. J'ai apprécié
ce livre et le Bibou aussi. Nous sommes d'ailleurs dans une
conversation quelque peu enflammée 😉
Je tairais là le reste,
il ne tient qu'à vous de dévorer ce livre et d'en faire votre
analyse pour que nous puissions en discuter 😉
Ma
Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous invite à découvrir « Le
dernier temps » de Jean K. Saintfort. Un roman d'anticipation,
adjoint d'un conte philosophique où la beauté des mots et le rythme
de l'histoire alimentent la chaîne du suspense et de la réflexion.
Un livre qui se lit et se dévore à différents niveaux. Alors
tenté ?
Je
suis bien curieuse de votre retour alors si vous passez dans le coin
et que vous l’avez lu ou juste me dire si je vous ai donné envie,
n’hésitez pas à commenter 😉
Merci pour ce superbe et enthousiaste commentaire, Sandra. Oui, je crois que la poésie et le conte ont leur place dans le roman. Oui, envers et contre tout, je veux croire en un autre monde... Merci. Jean K SAINTFORT https://jeanksaintfort.jimdofree.com/
RépondreSupprimerImpossible pour moi de ne pas parler de l'artiste. L’homme et la femme qui sont présentés sur la couverture sont issus d’un tableau de JJ Vitiello qui a gagné le Prix « Mona Lisa La Joconde Prix international d’art 2019 Academia italia », remis dans le cadre de la diffusion de la connaissance, de la défense et de l’affirmation de l’Art et des « Droits de l’Homme ». L'artiste a choisi de s'associer au roman. Notre complicité créative fut un grand moment de joie. Avis aux auteurs qui cherchent une belle / magnifique / superbe... couverture. Jean K SAINFORT
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