Ah un truc
bien psycho, comme je les aime !
Année de
parution : 2014
Nombre de
pages : 206
ISBN : 978-2-9550079-0-7
Editions : Omarnaka
Résumé
(quatrième de couverture) :
Quand un parfum subtil, un déhanché, une
silhouette, un effleurement osé vous précipitent inconsciemment vers des
espaces inconnus et des pulsions incontrôlables... Il est déjà trop tard pour
retrouver le chemin du retour. Et celui de la sagesse. Déjà trop tard pour
détacher son cœur. Benoît, en quête d’amour voluptueux et absolu, fantasme
innocemment sur cette passante croisée chaque matin en se disant que la vie
pourrait bien enfin le gratifier d’un zeste d’aventure folle, épicée et
cocasse. Le bougre sera copieusement exaucé, bien au-delà de ses espérances !
Un roman troublant, par l'auteur de La Plume de l’Ange. Réalité ou fiction.
Présent ou passé. Lucidité ou folie. Exister ou disparaître. Et si vivait en
nous un autre souffle, une connivence mystérieuse, un habitant tendrement lové
dans notre lit cérébral, un squatter magnifique, un papillon virevoltant et
tendre. Et qui nous ferait croire qu'en battant un peu de l’aile...
Quelques mots sur
l’auteur :
Jean-Pierre
Meyer est né à Tonneins dans le Lot-et-Garonne. Après des études de Décoration
à l'Académie Artistique Yves Derval, il rejoint l'Ecole Supérieure des Arts
Modernes de Paris. Durant plus de quarante ans, il travaillera dans les métiers
de la communication, en studio de création, agences de publicité et de
communication, puis en tant que concepteur graphiste indépendant. Son travail
d'association des mots et des images et sa sensibilité littéraire le conduiront
tout naturellement à l'écriture. Un premier recueil de contes et nouvelles, Queues de poissons, verra le jour chez
Artmedia, suivi du roman, La Plume de
l'Ange, publié chez Chloé des Lys. Il participe à l'ouvrage collectif, Quand tout bascule, chez ce même
éditeur. La Passante de l'Odéon, nouveau
roman et Valentin Marmottin et autres
vagabondages, ouvrage de nouvelles pétillantes, suivront.... [Source_Amazon]
Maintenant, place
au livre !
Ah un truc
bien psycho, comme je les aime !
Dès le
départ, je me dis « il y a un truc qui cloche ! »
Benoît
attiré par une femme qu’il croise tous les jours dans le métro et nourrit ses
fantasmes les plus érotiques.
Jusqu’au
jour où cette femme lui fait comprendre qu’elle l’attend. Il décide de la
suivre dans une filature un peu folle, jusqu’à une chambre de bonne sous les
toits de Paris.
Avant de la
rejoindre, il croise un homme qui le met en garde …
Satoko est
une petite fille cambodgienne qui nourrit le rêve d’être danseuse un jour à
Paris. En attendant, elle va tous les jours vendre son riz cuit aux travailleurs.
Alors qu’un
jour elle était partit chercher de l’eau, elle croise une mine qui lui prend sa
jambe. Satoko avait un rêve, celui de devenir danseuse …
Elle avait
pourtant rencontré un vieil homme qui lui avait remis une tenue et des
ballerines … Satoko avait un rêve …
Benoît après
l’épisode enflammé de sa rencontre avec la belle mystérieuse, essaya de
retrouver la jeune femme, sans résultat…
Mais il
retomba une fois de plus sur l’homme qui l’avait interpellé !
Une histoire
dingue ! Mais où est cette belle mystérieuse ? Qui est-ce ? Et
lui, l’homme au manteau vert ? Qu’est-ce qu’il fait toujours accroché à
ses basques ?
Il faut
aussi savoir, fait assez sympa, que Benoît a donné vit à sa conscience il y a
longtemps de ça. C’est un véritable personnage ! Si, si, il s’appelle
Albert ! Plein de raison et de réflexion.
Jean-Pierre
MEYER nous embarque dans une histoire dingue, fine psychologie et dénouement
diabolique !
Une bonne
histoire à tiroirs, que j’apprécié !
Je vous
souhaite une bonne lecture !
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