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30 sept. 2016

Résumé de l'apéro littéraire # 5 du 29.09.2016

Résumé de l’apéro littéraire – l’instant des lecteurs # 5, Le 29 septembre 2016 à 19h au Petit Bonheur


Auteure à l’honneur : Huguette CONILH – Présence de l’auteure à notre rendez-vous

Vous pouvez revoir :



Personnes présentes : Ange, Michel, Marie-Line, Brigitte, Nathalie, Frédérique, Isabelle, Michelle, Catherine et Sandra – Gentiane en début de rendez-vous.
Personnes excusées : Jennifer, Ghislaine, Amandine et Gérard.

Retour sur la lecture commune de septembre 2016 : « Les Ignobles » - Huguette CONILH



Ils sont les ignobles, victimes de leur différence, souffre-douleur des cours d'école, les proies de l'ignorance que l'intolérance met en marge de la société. Pour échapper au tableau des opprobres, Camille a préféré couper les ponts avec sa famille. 

Jusqu'au jour où la mort de ses parents dans l'incendie de leur maison l'oblige à reprendre le chemin de la Vienne. Il recueille alors son frère cadet, Mathis, un adolescent torturé par la culpabilité de n'avoir pu sauver ses parents. 

Passée l'émotion des retrouvailles, la tâche s'avère plus compliquée que ne l'imaginait l'aîné, partagé entre l'engagement qu'il vient de prendre et la vie routinière qu'il menait jusque-là. D'autant plus qu'il entraîne son colocataire et son propriétaire dans l'éprouvant sillage éducatif de l'adolescence. Le destin croisé de ces quatre personnages fera remonter à la surface les lourds secrets du passé. Les inavouables ignominies.

Résumé du livre : ouverture de la discussion – proposé par Amandine


L'histoire commence le 11 mai 2007 lorsque Norbert Loisot enterre Anna, sa femme. « Mère en carence d'amour filial », celle-ci s'est suicidée par pendaison dans leur salle à manger quatre jours plus tôt.
En effet depuis 13 ans, elle voulait un enfant mais était stérile, et Norbert, lui par contre, n'en voulait pas. Le soir de ce jour funeste Norbert se fait agressé et ne sera plus jamais le même.

Cinq ans plus tard, le 17 juillet 2012, Camille 25 ans et Mathis13 ans, deux frères qui enterrent leurs parents morts quelques jours plus tôt dans l'incendie de leur maison. Camille décide de prendre son frère chez lui malgré les réticences de ses grands-parents maternels, les Tournerie. Camille habite en colocation avec Aaron Letellier au premier étage d'une maison qui appartient à … Norbert Loisot ! Celui-ci habite au rez-de-chaussée et est désormais en fauteuil roulant.

Mathis fait des crises d'angoisse la nuit. Il s'avère que Camille et Aaron ne sont pas que des colocataires. Mathis découvre malgré lui qu'ils sont en couple. Cette relation doit rester secrète et choque Mathis. Il demande conseil auprès de Norbert car il s'entend bien avec lui
mais Norbert ne le prends pas très bien. Norbert est en fait « L5 » sur un blog homophobe « Les ignobles ».

Mathis et Aaron ne s'adaptent pas à leur nouvelle situation. Aaron et Camille se disputent. Mathis souhaite fuguer avec son ancien meilleur ami de son ancienne ville. Il se fait raquetter et tente de se suicider. Cette tentative de suicide rapprochera Aaron et Camille et les réconciliera. Mathis changera ensuite d'école. Il tombe amoureux d'une jeune fille de son ancienne classe. Mme Tournerie (la grand-mère maternelle) réclamera et gagnera auprès de la justice un temps de visite.

Qui est Huguette CONILH, sa relation avec ce livre et nos échanges


« Les Ignobles » c’est son dernier roman publié, en février 2016.
Huguette Conilh habite à Miramont-de-Guyenne, c’est une femme simple, souriante, avenante et parle de ses écrits sans retenue, avec ses doutes et ses défis relevés.

Huguette est une grande liseuse. Dans sa jeunesse elle a lu beaucoup de classiques tels que Pearl BUCK, Emile ZOLA, Patrick CAUVIN, etc. Elle a même eu la chance de pouvoir faire dédicacer un livre à P. CAUVIN lors d’un salon et c’est avec les yeux d’une petite fille et d’une fane qu’elle nous raconte cette anecdote. (Au fond, nous sommes tous pareil avec nos auteurs !)
Maintenant Huguette est plus axée sur le fantastique. Elle a plongé dans cet univers avec ses enfants et y est resté.

Elle avoue vouloir relever le défi d’écrire un livre dans ce style. Pourquoi pas, c’est un beau challenge !

Ses œuvres :
-       « Azul » ou « La vallée de l’amour » - petite anecdote, lorsqu’elle a proposé son livre « Azul » (à prononcer en espagnol) l’éditeur l’a classé dans les bibliothèques roses et l’a renommé. Hors rien à voir !
-       « Le chien de l’enfer » ou « La liste de miss zapping » - dans le même style, l’éditeur a changé le nom !!!! décidément ces éditeurs !!!!

Alors Huguette Conilh nous confie qu’il lui est extrêmement difficile de défendre son livre lorsqu’il a changé de titre … Ce qui est normal !

D’autres nouvelles viennent compléter sa panoplie ! je vous laisse découvrir son univers : https://huguetteconilh.wordpress.com/

En voici certaines :
-       Cas Mille
-       Ce que disent les noms

Maintenant, place au livre …


Pourquoi avoir commencé le livre avec le personnage de Norbert Loisot ?
-       Huguette Conilh nous explique que par le passé, sur d’autres œuvres, ont lui a reproché de mettre trop de personnages dans le premier chapitre. Du coup pour ce nouveau livre, elle a essayé de mettre un seul personnage à « l’honneur » : Norbert. C’est quand même un des personnages phare de ce livre et c’est un choix qu’elle a fait.

Petite anecdote : Huguette Conilh nous raconte que pour écrire ce premier chapitre, elle est allée à l’enterrement d’une personne qu’elle ne connaissait pas. En effet, elle avait besoin d’en saisir l’atmosphère. En hommage à cette dame, elle a promis de donner son prénom à un de ses personnages… C’est Pierrette, la voisine d’en face de chez Norbert !

« Les Ignobles » est-il un roman imaginaire ou basé sur une histoire vraie ?
-       Huguette Conilh nous explique que c’est une histoire complètement imaginaire mais que Camille existe vraiment.
Explications : Camille est un jeune homme qu’elle a rencontré et qui souhaitait vraiment être le héros d’un de ses livres. Donc pour celui-ci, elle a pris le prénom de Camille, son homosexualité et a « délaissé » tout le reste de son histoire à lui.

Il faut savoir qu’Huguette Conilh, quand elle écrit, connait dès le départ, le début et la fin du livre. Mathis ici a été son fil rouge. Elle savait dès le début que Mathis serait le « noyau » de son œuvre. Par contre au milieu, il est devenu très sombre comme personnage…
Huguette Conilh nous dit être qu’une apprentie auteure et qu’elle teste les méthodes !

Ce qui est intéressant chez Huguette Conilh, c’est que quand elle écrit ses livres, chaque personnage à sa propre biographie ! Depuis sa naissance jusqu’à son apparition dans le livre ! Elle crée vraiment un monde autour de ses histoires. C’est magique !

Pourquoi avoir écrit un livre sur le thème de la tolérance ?
-       Parce qu’Huguette Conilh l’a vu dans son travail, elle a voulu montrer que la tolérance est l’affaire de tous, car même les gens « différents » sont intolérants entre eux.

Norbert est un personnage très observateur, il cherche, il analyse, il est très attentif …
-       Oui, Huguette Conilh reconnaît que c’est un de ses traits de caractère.

Le titre est somme toute exagéré et peut être rebutant ! Pourquoi l’avoir choisi ainsi ?
-       Huguette Conilh explique simplement que le mot « ignoble » représente les personnes non nobles au moyen-âge. Qu’elle le considère tel quel dans son livre.
-       Quelques membres du groupe réagissent sur le fait qu’au XXIième siècle le mot « ignoble » désigne le « sordide ».
En effet, il faut passer outre le titre et plonger dans les premières pages du livre pour avoir le sens du mot qu’Huguette Conilh donne à son titre. A savoir toutes les personnes dites « différentes » du commun par exemple l’homosexualité, le handicap, etc.

Il faut savoir qu’Huguette Conilh choisit les titres de ses œuvres avant même de les écrire ! Surprenant non ?

Tous les membres de l’apéro littéraire sont partagés entre le côté sombre des personnages et le fait que le livre soit porteur d’espoir.

Un petit plus ? Oui, la fin du livre !
Il faut savoir que la première version, numérique, du livre « Les Ignobles » n’avait pas cette fin ! Huguette Conilh ne voulait pas rajouter encore plus de noirceur à ses personnages, surtout Mathis qui est déjà bien « gratiné ». Et puis finalement, après y avoir été poussé, elle a fini par l’écrire. Et nous devons reconnaître qu’elle s’en est bien sortie !

Les autres moments de discussion sont des moments personnels que chacun gardera en mémoire.

Nous remercions très chaleureusement Huguette Conilh pour avoir accepté de venir à notre apéro littéraire, nous la remercions également pour sa gentillesse, pour sa simplicité et pour ses échanges.

Les lectures phares de septembre 2016 :


Isabelle nous propose :

ü  « La vie est facile, ne t’inquiète pas » - Agnès MARTIN-LUGAND (Isabelle et Michelle)

Résumé (quatrième de couverture) :

Rentrée d’Irlande, Diane est bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l’aide de son ami Félix, elle s’est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son café littéraire. C’est là, aux « Gens heureux lisent et boivent du café », son havre de paix, qu’elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné, et, surtout, il comprend son refus d’être mère à nouveau. Car elle ne peut se remettre de la perte de sa fille.
Bientôt un évènement inattendu va venir bouleverser les certitudes de Diane quant à ses choix, pour lesquels elle a tant bataillé. Aura-t-elle le courage d’accepter un autre chemin ?




ü   « Entre mes mains le bonheur se faufile » - Agnès MARTIN-LUGAND

Résumé (quatrième de couverture) :

Iris étouffe dans sa petite vie étriquée de la bourgeoisie de province. Un mariage qui se délite, un métier frustrant, elle s’échappe dans des drapés vaporeux et de sages petites robe sur mesure. La couture est son refuge, la machine suivant la cadence de son cœur apaisé. Jusqu’au jour de l’explosion, lorsque Iris découvre que ses parents lui ont volé ses aspirations de jeunesse.
Alors elle déchire le carcan et s’envole pour suivre la formation dont elle rêvait. Et, de fil en aiguille, sous l’égide autoritaire de l’élégante Marthe, Iris se confectionne une nouvelle vie, dans l’exubérance du Paris mondain.



ü  « Sur le bord de la rivière Piedra, je me suis assise et j'ai pleuré » - Paulo COELHO

Résumé (quatrième de couverture) :

Une histoire d'amour renferme tous les secrets du monde. Pilar et son compagnon se sont connus dans l'enfance, éloignés au cours de leur adolescence, et voici qu'ils se retrouvent onze ans plus tard. Elle, une femme à qui la vie a appris à être forte et à ne pas se laisser déborder par ses sentiments. Lui, un homme qui possède le don de guérir les autres et cherche dans la religion une solution à ses conflits intérieurs. Tous deux sont unis par le désir de changer et de poursuivre leurs rêves. Pour y parvenir, il leur faudra surmonter bien des obstacles : la peur de se donner, le sentiment de la faute, les préjugés. Pilar et son compagnon décident alors de se rendre dans un petit village des Pyrénées, pour découvrir leur propre vérité. S'il relate avec poésie, et des dialogues très modernes, une rencontre amoureuse. Paulo Coelho nous plonge aussi dans les mystères de la divinité. Car, rappelle-t-il, "l'expérience spirituelle est avant tout une expérience pratique d'amour". Un livre émouvant, limpide, qui délivre des messages de vie. 



ü  « Le miroir de Cassandre » - Bernard WERBER

Résumé (quatrième de couverture) :

Ses parents disparus ont voué Cassandre au malheur en la programmant à devenir voyante ! Comme l’héroïne grecque dont elle porte le nom, la jeune fille est capable de prévoir les catastrophes, et comme elle, personne ne l’écoute…

Aux lisières d’un Paris futuriste hanté par des êtres revenus à l’état sauvage, Cassandre et ses étranges amis vont essayer de sauver un monde qui court à sa perte, menacé par la surpopulation, la pollution, les guerres, les épidémies et le terrorisme.

Un conte-fleuve sur l'origine et la fin des temps, la destinée de l'Homme, les pièges de la fatalité et de la liberté.



Michelle nous propose :

ü  « La vie est facile, ne t’inquiète pas » - Agnès MARTIN-LUGAND
ü  « Le miracle de la plein conscience » - Thich Nhat HANH

Résumé (quatrième de couverture) :

La Pleine Conscience est le miracle grâce auquel nous pouvons vivre pleinement chaque instant de la vie, que ce soit en mangeant une mandarine, en jouant avec des enfants ou en faisant la vaisselle. Les principes simples et directs qu'énonce le célèbre maître zen Thich Nhat Hanh sont universels et chacun peut y découvrir des trésors. Par cet enseignement, où méditation et action ne sont pas séparées, nous sommes invités à redécouvrir la véritable beauté de la vie au fil de notre quotidien, à apprécier chaque minute, chaque seconde du miracle de la réalité. Le miracle de la Pleine Conscience nous apprend à retrouver l'émerveillement de l'enfant devant le monde et à nous reposer dans le calme et la paix de notre nature profonde.


Sandra nous propose :

ü  « Avocate irrespectueuse » - Gisèle HALIMI

Résumé (quatrième de couverture) :

« En entrant dans le prétoire, j’emporte ma vie avec moi. »
Tout, dans la vie de Gisèle Halimi, renvoie à son Afrique du Nord natale, à sa foi en l’égalité de tous les êtres humains entre eux. Cette femme, qui fut une des premières à mettre le mot avocat au féminin, éprouve très tôt une passion innée, violente, pour la justice. C’est la guerre d’Algérie qui lui dicte ses premiers combats. En défendant le F.L.N., en militant contre la torture, elle met sa vie en danger. La cause des femmes lui doit ses plus grandes conquêtes quand, au cours de procès retentissants, elle exige le droit à l’avortement, la répression du viol.
Ce livre résume trente années de lutte pour la tolérance et la liberté. C’est le témoignage d’une femme en colère qui s’insurge contre les lois injustes et archaïques, et découvre l’irrespect comme une forme de courage et d’héroïsme. Le témoignage d’une femme de cœur.



ü  « La prochaine fois » - Marc LEVY

Résumé (quatrième de couverture) :

Jonathan Gardner est expert en peinture à Boston. A la recherche d’une toile mystérieuse, il est invité à se rendre dans une galerie en Angleterre pour préparer une importante vente aux enchères. Il y rencontre alors sa propriétaire, Clara. Tous deux sont convaincus de s’être rencontrés. Mais où et quand ? A Londres … Il y a plus d’un siècle.
  


Huguette Conilh nous propose :

ü  Les 12 tomes de « L’assassin royal » - Robin HOBB
ü  « Code 93 » - Olivier NOREK

Résumé (quatrième de couverture) :

Un cadavre, émasculé, qui rouvre les yeux sur la table d'autopsie. Un portable qui se met à sonner dans le corps d'un jeune toxico, mort de brûlures inexplicables. Malgré quinze ans de terrain en Seine-Saint-Denis, Victor Coste, capitaine de police, se prépare au pire. 
Et que penser de ces lettres anonymes qui dessinent une première piste : celle d'un mystérieux dossier, le " Code 93 " ? 



ü  Tous les tomes « Les cycles des démons » - Peter V. BRETT

Michel nous propose :

ü  « Le magasin des suicides » - Jean TEULE

Résumé (quatrième de couverture) :

Imaginez un magasin où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère dans la tristesse et l'humeur sombre jusqu'au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre...


ü   « Etrange suicide dans une Fiat rouge à faible kilométrage » - L.C. TYLER

Résumé (quatrième de couverture) :

On n'est jamais mieux servi que par soi-même. Lorsque son ex-femme, Géraldine, disparaît, Ethelred décide de mettre à profit ses talents de détective pour la retrouver.
Petit problème : les connaissances en criminalité d'Ethelred, écrivain professionnel, proviennent de romans policiers tout droit sortis de son imagination qui, depuis un moment, s'est, elle aussi, volatilisée.
Quoi de mieux, pour retrouver l'inspiration, qu'une enquête grandeur nature ? De fausses pistes en révélations renversantes, la réalité dépasse de loin la fiction...



Marie-Line nous propose :

ü  « Riquet à la houppe » - Amélie NOTHOMB

Résumé (quatrième de couverture) :

« L’art a une tendance naturelle à privilégier l’extraordinaire. »
Amélie Nothomb



Brigitte nous propose :

ü  « Une nuit sacrée » - Tahar Ben JELLOUN

Résumé (quatrième de couverture) :

Rappelez-vous ! J'ai été une enfant à l'identité trouble et vacillante. J'ai été une fille masquée par la volonté d'un père qui se sentait diminué, humilié parce qu'il n'avait pas eu de fils.

Comme vous le savez, j'ai été ce fils dont il rêvait. Le reste, certains d'entre vous le connaissent ; les autres en ont entendu des bribes ici i ou là. Ceux qui se sont risqués à raconter la vie de cet enfant de sable et de vent ont eu quelques ennuis : certains ont été frappés d'amnésie ; d'autres ont failli perdre leur âme.

Mais comme ma vie n'est pas un conte, j'ai tenu à rétablir les faits et v vous livrer le secret gardé sous une pierre noire dans une maison aux murs hauts au fond d'une ruelle fermée par sept portes.



ü  « Le liseur du 6h27 » - Jean-Paul DIDIERLAURENT

Résumé (quatrième de couverture) :

"Voilà, on voulait vous dire, on aime bien ce que vous faites. Ça nous fait drôlement du bien. Ca va bientôt faire un an que Josette et moi, on vient vous écouter tous les lundis et jeudis matin."
Sur le chemin du travail, Guylain lit aux passagers du RER de 6h27 quelques pages rescapées de livres voués à la destruction. Ce curieux passe-temps va l'amener à faire la connaissance de personnages hauts en couleur qui cherchent, eux aussi, à réinventer leur vie.
Un concentré de bonne humeur, plein de tendresse et d'humanité.



Nathalie nous propose :

ü  « Les enfants de la terre – Tome 2 : La vallée des chevaux » - Jean M. AUEL

Résumé (quatrième de couverture) :

Passé la surprise et l'émerveillement suscités par Ayla, la jeune étrangère aux cheveux blonds qu'ils ont recueillie, les hommes du " clan de l'Ours " ont pris peur de ses dons extraordinaires. Parce qu'elle prétend chasser comme les hommes, parce qu'elle éprouve des sentiments inconnus d'eux, parce qu'elle voudrait garder son enfant pour elle seule, Ayla sera maudite et exilée. " Pars à la recherche de ton peuple, lui a dit Iza la guérisseuse. Va vers le nord, retrouve ton clan et un compagnon. " Un long voyage solitaire commence, au bout duquel Ayla rencontre deux jeunes gens. L'un deux est Jondalar. Comme elle, il est blond et ses yeux sont bleus.



ü  « Le nom de Dieu est miséricorde » - Pape François

Résumé (quatrième de couverture) :

" L'Église n'est pas là pour condamner, mais pour permettre la rencontre avec cet amour viscéral qu'est la miséricorde de Dieu. Pour que cela se produise, il est nécessaire de sortir. Sortir des églises et des paroisses, sortir et aller chercher les gens là où ils vivent, où ils souffrent, où ils espèrent. " Franciscus. Chaque page de ce livre vibre du désir du pape François de toucher les âmes qui cherchent un sens à leur vie, un chemin de paix et de réconciliation, un remède à leurs blessures physiques et morales. Pour lui, priorité doit être donnée à cette humanité, inquiète et souffrante, qui demande à être écoutée et non repoussée, à l'intérieur comme à l'extérieur de l'Église : les pauvres et les exclus, les prisonniers et les prostituées, mais encore les divorcés, les homosexuels. Il insiste, notamment à travers des souvenirs de jeunesse et des épisodes émouvants de son expérience de pasteur, sur le fait que l'Église ne doit fermer sa porte à personne.


Rappel : Forum et blog


Comme discuté lors de notre apéro littéraire, j’ai besoin de vos critiques sur les livres qui vous ont marqués pour que je puisse les transmettre à la bibliothèque de Tonneins avec qui nous avons un partenariat et qui pourront les afficher directement sur les livres J
Merci d’avance pour votre participation J


Prochain rendez-vous ?


Le jeudi 27 octobre prochain à 19h au bar associatif « Au Petit Bonheur ».

Lecture commune de octobre 2016 ?


« Le Camp des Saints » - Jean RASPAIL

Résumé (quatrième de couverture) :

« Dans la nuit, au midi de notre pays, cent navires se sont échoués, chargés d’un million d’immigrants. Ils viennent chercher l’espérance. Ils inspirent la pitié. Ils sont faibles… Ils ont la puissance du nombre. Ils sont l’Autre, c’est-à-dire multitude, l’avant-garde de la multitude. A tous les niveaux de la conscience universelle, on se pose alors la question : que faire ? Il est trop tard.

Paru pour la première fois en 1973, Le Camp des Saints, qui est un roman, relève en 2011 de la réalité. Nous sommes, tous, les acteurs du Camp des Saints. C’est notre destin que ce livre raconte, notre inconscience et notre acquiescement à ce qui va nous dissoudre.

C’est pourquoi, en guise de préface à cette nouvelle édition, dans un texte intitulé Big Other, j’ai voulu, une dernière fois, mettre un certain nombre de points sur les i. »
J.R.

Et pour finir …


Je vous souhaite à tous et toutes un très bon mois d’octobre et surtout un très bel automne.
Nous remercions très chaleureusement Huguette Conilh pour avoir accepté de venir à notre apéro littéraire, nous la remercions également de sa gentillesse, de sa simplicité et de ses échanges.
Merci pour votre participation. Nous remercions Gentiane et toute l’équipe du Petit Bonheur pour leur accueil, leurs cocktails et leur gentillesse :D
Nous également Michel pour ses contacts auprès des auteurs et bien sûr pour être notre porte-parole dans le Républicain :D

A bientôt.


Sandra. 

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